Sammlung der Entscheidungen des Schweizerischen Bundesgerichts
Collection des arrêts du Tribunal fédéral suisse
Raccolta delle decisioni del Tribunale federale svizzero

Strafrechtliche Abteilung, Beschwerde in Strafsachen 6B.394/2020
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Bundesgericht

Tribunal fédéral

Tribunale federale

Tribunal federal

               

6B_394/2020

Arrêt du 1er mai 2020

Cour de droit pénal

Composition

M. le Juge fédéral Denys, Président.

Greffier : M. Graa.

Participants à la procédure

A.________,

recourant,

contre

1. Ministère public central du canton de Vaud,

2. B.________,

intimés.

Objet

Extorsion et chantage; tentative de contrainte; fixation de la peine;
irrecevabilité du recours,

recours contre le jugement de la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du
canton de Vaud du 6 février 2020 (n° 29 PE16.018107-HNI/CMD).

Considérant en fait et en droit :

1. 

Par jugement du 6 septembre 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de
l'Est vaudois a condamné A.________, pour extorsion et chantage et tentative
d'extorsion et chantage, à une peine privative de liberté de huit mois, avec
sursis durant quatre ans.

Par jugement du 6 février 2020, la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du
canton de Vaud, statuant sur les appels formés par A.________ et par le
ministère public contre ce jugement, a réformé celui-ci en ce sens que le
prénommé est condamné, pour extorsion et chantage et tentative de contrainte, à
une peine privative de liberté de huit mois, avec sursis durant quatre ans.

A.________ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre le
jugement du 6 février 2020. Il sollicite par ailleurs le bénéfice de
l'assistance judiciaire.

2. 

Conformément à l'art. 42 al. 1 LTF, le mémoire de recours doit être motivé et
contenir des conclusions. Celles-ci doivent exprimer sur quels points la
décision entreprise doit être modifiée et comment. Les motifs doivent exposer
succinctement en quoi la décision attaquée viole le droit (art. 42 al. 2 LTF).
Selon la jurisprudence, pour répondre à cette exigence, la partie recourante
est tenue de discuter au moins sommairement les considérants de l'arrêt
entrepris (ATF 140 III 86 consid. 2 p. 88 ss et 115 consid. 2 p. 116 s.; 134 II
244 consid. 2.1 p. 245 s.); en particulier, la motivation doit être topique,
c'est-à-dire se rapporter à la question juridique tranchée par l'autorité
cantonale (ATF 123 V 335; arrêt 6B_970/2017 du 17 octobre 2017 consid. 4). Par
ailleurs, le Tribunal fédéral est lié par les constatations de fait de la
décision entreprise (art. 105 al. 1 LTF), sous les réserves découlant des art.
97 al. 1 et 105 al. 2 LTF, soit pour l'essentiel de l'arbitraire dans la
constatation des faits. Il n'examine la violation de droits fondamentaux que si
ce moyen est invoqué et motivé par le recourant (art. 106 al. 2 LTF),
c'est-à-dire s'il a été expressément soulevé et exposé de manière claire et
détaillée. Les critiques de nature appellatoire sont irrecevables (ATF 145 IV
154 consid. 1.1 p. 156 et les références citées).

En l'espèce, le recourant ne prend pas de conclusions formelles, de sorte qu'il
est impossible de saisir ce qu'il souhaite précisément obtenir. En outre, c'est
en vain que l'on cherche, dans son écriture, un grief topique, motivé à
satisfaction, propre à démontrer que la cour cantonale aurait pu violer le
droit.

Faute de satisfaire aux conditions de recevabilité d'un recours en matière
pénale au Tribunal fédéral (cf. art. 42 al. 2; 106 al. 2 LTF), le recours doit
être déclaré irrecevable en application de l'art. 108 al. 1 let. b LTF.

3. 

Le recours doit être déclaré irrecevable. Comme il était dénué de chances de
succès, la demande d'assistance judiciaire doit être rejetée (art. 64 al. 1
LTF). Le recourant, qui succombe, supportera les frais judiciaires (art. 66 al.
1 LTF), dont le montant sera fixé en tenant compte de sa situation financière,
laquelle n'apparaît pas favorable. L'intimée, qui n'a pas été invitée à se
déterminer, ne saurait prétendre à des dépens.

Par ces motifs, le Président prononce :

1. 

Le recours est irrecevable.

2. 

La demande d'assistance judiciaire est rejetée.

3. 

Les frais judiciaires, arrêtés à 500 fr., sont mis à la charge du recourant.

4. 

Le présent arrêt est communiqué aux parties et à la Cour d'appel pénale du
Tribunal cantonal du canton de Vaud.

Lausanne, le 1 ^er mai 2020 

Au nom de la Cour de droit pénal

du Tribunal fédéral suisse

Le Président : Denys

Le Greffier : Graa